SOHIER de COURTRAY
gentilhomme flamand
héros de la bataille des Eperons d'Or

1) Extraits de "Les grands mythes de l'histoire de Belgique" d'Anne Morelli dans son chapitre consacré à Jacques van Artevelde:
"L'arrestation, en juillet 1337, de Sohier de Courtrai, gentilhomme en relation avec l'Angleterre, très apprécié à Gand, provoque l'agitation. Elle est suivie en novembre de la livraison d'un stock de laine anglaise à Doordrecht, qui concrétise le danger de la concurrence"

2) Articles parus dans le journal La Libre Belgique des 21 et 22 février 1967 sous la rubrique "Histoire de la Semaine":


"L'épouse de Jacques Van Artevelde, Catherine De Coster (pourquoi un nom différent de celui de son père?), serait en fait la fille de Sohier de Courtray.
      (Documentation fournie par JEAN Réf.:33)


3) Extrait d'un livre parus en 1860


4) Articles édité par l'Académie Royale ses Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique en 1873


5) Autre articles édité par l'Académie Royale ses Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique en 1914-20


6) ‘Sohier de Courtrai’ était le chef des Namurois à la bataille des éperons d’or et le beau père de ‘Jacob Van Artevelde’.

      (Documentation fournie par GUIDO Réf.:1073)


7) quand finalement, Louis II de Nevers, fait décapiter Sohier de Courtray, qui avait reçu les Anglais avec beaucoup d'égard, Van Artevelde n'hésite plus:
Toute la Flandre le suit et se rallie au party de D'Edouard III.

Cette citation est à mettre en rapport avec l'industrie textile:
Louis II de Nevers (comte de Flandre et instrument politique de Philippe le bel roi de France)
Edward III (roi d'Angleterre)
      (Documentation fournie par GUIDO Réf.:1073)


8) "Pour en revenir à mon oncle Joseph , je sais qu'il avait entrepris peu avant sa mort , des recherches en généalogie à propos de la famille SOHIER . Ces recherches avaient permis de remonter au moyen-âge , précisément à l'issue de la célèbre bataille des Eperons d'Or , qui vit la défaite cuisante de l'armée française , face à des gens beaucoup mieux adaptés et équipés en fonction du terrain sur lequel s'est déroulée cette bataille . Les chevaliers français , trop lourdement carapaçonnés se sont enlisés dans les terres meubles qui bordent la Lys , dans la région de COURTRAI . Ce fut un carnage et une humiliation sans précédent de la noblesse française . Toujours est-il qu'au cours de cette bataille , un certain SOHIER s'y distingua particulièrement et reçut , en raison de ses faits d'armes , le titre de "chevalier" , avec armoiries . Ces armoiries étaient de ce que je me souvienne , représentées sur un écu , barré en diagonale d'une large bande dont j'ignore la couleur . Dans chaque coin ainsi délimité figuraient trois églantines et trois merlettes , sans autres précisons en ce qui concerne les couleurs."
   (Extrait d'une correspondance avec Christian Vlieghe)
9) Extrait de "Jacques van Artevelde: histoire des six premiers mois de son administration" Par P. A. Lenz

 

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